BURN OUT : STOP AUX IDEES RECUES
Véronique Debord burnout, depression, drh, prevention, prevention, psy, qvt, ressourceshumaines, rps, santementale |
Parce qu’on parle de la souffrance psychique de quelques millions de personnes
Parce que j’accompagne des personnes en burn out et que j’ai trop de respect pour elles !
1/ Non, les personnes qui souffrent de burn out ne sont pas des personnes fragiles.
Et bien au contraire.
Être parfait et être fort, leur doublé toxique !
Perfectionnistes, exigeants, ils sont souvent de grands insatisfaits.
Le contrôle est leur moteur.
Ce sont des personnes très (trop) impliquées et de gros bosseurs.
Être fort, quoi qu’il arrive…quoi qu’il en coûte !
Se débrouiller tout seul, ne pas demander de l’aide, voilà bien souvent leur croyance.
Faire, toujours et encore, passer en force, ils se coupent peu à peu de leurs émotions.
2/ Non, le burn out n’est pas un truc de nana engluée dans sa vie pro et perso
J’accompagne des hommes.
Le burn-out n’est pas une affaire de femme. La seule différence, c’est que les hommes l’acceptent beaucoup moins.
Désolée Messieurs !
Souvent dans le déni, ils sont moins enclins à le dire et à rechercher de l’aide. L’image de l’homme courageux qui ne doit pas montrer de signes de faiblesse est encore bien tenace.
D’ailleurs, les miens ont souvent été envoyés par leur femme !
3/ Non, le burn out ne concerne pas uniquement les cadres sup
Toutes les catégories sociales sont concernées.
Je vois des chefs de projets junior, des assistantes, des managers de proximité, …
Je vois des jeunes de 25 ans, des alternants, …
4/ Non, le burn out ne vous tombe pas dessus sans prévenir
C’est un long processus ; découragement, tristesse, fatigue émotionnelle, troubles de mémoire et de concentration, perte d’appétit et de sommeil…
Tout s’installe insidieusement.
Le corps est une machine bien faite, il envoie des signaux, il alerte.
Mais, rappelez-vous, ils sont forts et déconnectés de leurs émotions…ils attendent donc que la machine s’arrête.
C’est pour cette raison qu’on parle souvent de ON/OFF.
5/ Non, le burn out n’est pas un truc d’entreprise
Les trois fonctions publiques ne sont pas épargnées ; j’en accompagne.
Je connais et vous connaissez aussi des médecins, des infirmières, des artisans, des commerçants, des agriculteurs, des entrepreneurs, …
Toutes les professions et tous les secteurs sont concernés.
N’attendez pas.
Si vous ressentez du découragement, de la tristesse, de la fatigue émotionnelle avec des troubles de mémoire et de concentration, un manque d’appétit, un sommeil difficile…demandez de l’aide, vous n’en serez pas faible pour autant !
Et si vous avez un doute entre une dépression ou un burn out (la frontière est mince), sachez que l’épuisement professionnel est lié au « contexte » dans le sens où le burnout est un épisode qui prend sa source dans la sphère professionnelle.
Parce que j’accompagne des personnes en burn out et que j’ai trop de respect pour elles !
1/ Non, les personnes qui souffrent de burn out ne sont pas des personnes fragiles.
Et bien au contraire.
Être parfait et être fort, leur doublé toxique !
Perfectionnistes, exigeants, ils sont souvent de grands insatisfaits.
Le contrôle est leur moteur.
Ce sont des personnes très (trop) impliquées et de gros bosseurs.
Être fort, quoi qu’il arrive…quoi qu’il en coûte !
Se débrouiller tout seul, ne pas demander de l’aide, voilà bien souvent leur croyance.
Faire, toujours et encore, passer en force, ils se coupent peu à peu de leurs émotions.
2/ Non, le burn out n’est pas un truc de nana engluée dans sa vie pro et perso
J’accompagne des hommes.
Le burn-out n’est pas une affaire de femme. La seule différence, c’est que les hommes l’acceptent beaucoup moins.
Désolée Messieurs !
Souvent dans le déni, ils sont moins enclins à le dire et à rechercher de l’aide. L’image de l’homme courageux qui ne doit pas montrer de signes de faiblesse est encore bien tenace.
D’ailleurs, les miens ont souvent été envoyés par leur femme !
3/ Non, le burn out ne concerne pas uniquement les cadres sup
Toutes les catégories sociales sont concernées.
Je vois des chefs de projets junior, des assistantes, des managers de proximité, …
Je vois des jeunes de 25 ans, des alternants, …
4/ Non, le burn out ne vous tombe pas dessus sans prévenir
C’est un long processus ; découragement, tristesse, fatigue émotionnelle, troubles de mémoire et de concentration, perte d’appétit et de sommeil…
Tout s’installe insidieusement.
Le corps est une machine bien faite, il envoie des signaux, il alerte.
Mais, rappelez-vous, ils sont forts et déconnectés de leurs émotions…ils attendent donc que la machine s’arrête.
C’est pour cette raison qu’on parle souvent de ON/OFF.
5/ Non, le burn out n’est pas un truc d’entreprise
Les trois fonctions publiques ne sont pas épargnées ; j’en accompagne.
Je connais et vous connaissez aussi des médecins, des infirmières, des artisans, des commerçants, des agriculteurs, des entrepreneurs, …
Toutes les professions et tous les secteurs sont concernés.
N’attendez pas.
Si vous ressentez du découragement, de la tristesse, de la fatigue émotionnelle avec des troubles de mémoire et de concentration, un manque d’appétit, un sommeil difficile…demandez de l’aide, vous n’en serez pas faible pour autant !
Et si vous avez un doute entre une dépression ou un burn out (la frontière est mince), sachez que l’épuisement professionnel est lié au « contexte » dans le sens où le burnout est un épisode qui prend sa source dans la sphère professionnelle.
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