"Arrêtez de faire l'autruche" !
Véronique Debord coach, confianceensoi, deni, developpementpersonnel, fairelautruche, gerersespeurs, psy, psychologiepositive |
On utilise cette expression pour parler de quelqu'un qui refuse de voir la réalité en face et préfère s'enterrer la tête dans le sol "comme une autruche".
En réalité, l'autruche ne fait que rapprocher sa tête du sol. Si elle procède ainsi, c'est parce qu'elle creuse un nid pour ses œufs, cherche quelques brindilles à grignoter ou écoute les vibrations du sol pour surveiller l'arrivée d'un éventuel prédateur.
Face à certaines difficultés, il arrive que nous cultivions la " politique de l'autruche ". Nous recourons alors à un mécanisme de défense : le déni.
C'est Sigmund Freud (encore lui !) qui a nommé ainsi ce processus de refus d'une partie de la réalité, lorsqu'elle est considérée comme dangereuse ou blessante.
Sauf que, refuser de voir le danger ne va pas le faire disparaître. Bien au contraire, il s’amplifie et il devient compliqué d’y faire face.
Et pourtant, plus le danger est grand, plus nous avons tendance à tomber dans le déni, selon les statistiques. C'est par exemple le cas de certaines personnes gravement malades. Une équipe d'un institut de recherche britannique sur le cancer a mené une étude auprès d'individus de plus de 50 ans ayant déclaré avoir souffert d'au moins un symptôme pouvant être associé à un cancer au cours des trois derniers mois. Seuls 55 % d'entre eux avaient pris rendez-vous auprès d'un médecin durant ce laps de temps. L'une des principales raisons invoquées est : la peur du diagnostic...
On retrouve aussi beaucoup ce processus sur les problèmes financiers et dans le monde du travail pour les prises de décision.
LES SOLUTIONS : STOP / REFLEXION / ACTION
L’idée est d’observer la situation.
Prenez une feuille et notez toutes les émotions liées à cette situation. La ou les peurs sont à l’origine du déni, nommez-les. Oui, c'est dur ! Oui, mais indispensable !
Difficile d’admettre que l’on s’est peut-être trompé, que l’on a fait les mauvais choix mais il faut impérativement passer par cette phase de prise de conscience.
Là encore, on liste les solutions qui s’offrent à vous ; et il y en a plein !
GO !
Néanmoins, si cette tendance de l’autruche est très enkystée chez vous et devient une manière d’agir chronique, je vous conseille de vous faire aider.
Saviez-vous que cette image vient d'une croyance erronée ?
En réalité, l'autruche ne fait que rapprocher sa tête du sol. Si elle procède ainsi, c'est parce qu'elle creuse un nid pour ses œufs, cherche quelques brindilles à grignoter ou écoute les vibrations du sol pour surveiller l'arrivée d'un éventuel prédateur.
Face à certaines difficultés, il arrive que nous cultivions la " politique de l'autruche ". Nous recourons alors à un mécanisme de défense : le déni.
C'est Sigmund Freud (encore lui !) qui a nommé ainsi ce processus de refus d'une partie de la réalité, lorsqu'elle est considérée comme dangereuse ou blessante.
Sauf que, refuser de voir le danger ne va pas le faire disparaître. Bien au contraire, il s’amplifie et il devient compliqué d’y faire face.
Et pourtant, plus le danger est grand, plus nous avons tendance à tomber dans le déni, selon les statistiques. C'est par exemple le cas de certaines personnes gravement malades. Une équipe d'un institut de recherche britannique sur le cancer a mené une étude auprès d'individus de plus de 50 ans ayant déclaré avoir souffert d'au moins un symptôme pouvant être associé à un cancer au cours des trois derniers mois. Seuls 55 % d'entre eux avaient pris rendez-vous auprès d'un médecin durant ce laps de temps. L'une des principales raisons invoquées est : la peur du diagnostic...
On retrouve aussi beaucoup ce processus sur les problèmes financiers et dans le monde du travail pour les prises de décision.
LES SOLUTIONS : STOP / REFLEXION / ACTION
- Sortez la tête du sable : mettez-vous en mode pause !
L’idée est d’observer la situation.
Prenez une feuille et notez toutes les émotions liées à cette situation. La ou les peurs sont à l’origine du déni, nommez-les. Oui, c'est dur ! Oui, mais indispensable !
Difficile d’admettre que l’on s’est peut-être trompé, que l’on a fait les mauvais choix mais il faut impérativement passer par cette phase de prise de conscience.
- A tout problème, une solution ! Réfléchissez !
Là encore, on liste les solutions qui s’offrent à vous ; et il y en a plein !
- AGISSEZ ! L’action tue la peur (ma grande phrase !)
GO !
Néanmoins, si cette tendance de l’autruche est très enkystée chez vous et devient une manière d’agir chronique, je vous conseille de vous faire aider.
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