Argent ; qu’est-ce que je vaux ? 

Véronique Debord

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Money, Money, Money !

Pas assez, toujours plus...
Synonyme de puissance, de force, de plaisir, d'envie, il permet aussi à certains d'exercer un pouvoir sur les autres, dans le couple, en famille ou au sein de l'entreprise. 

L'argent peut représenter la sécurité, la protection, le manque, la jalousie,...

Notre rapport à l’argent est un bon indicateur de notre psychologie et un bel outil de connaissance de soi. Se regarder dépenser, économiser... Optimiste ou pessimiste ? Confiant ou inquiet ? Radin ou généreux ? Dans la construction à long terme ou le plaisir immédiat ? Qu’achetez-vous pour vous faire plaisir ? Devez-vous dépenser beaucoup pour avoir l’impression de profiter ?

Notre rapport à l’argent dépend en grande partie de la manière dont nous avons été élevés. Ce que nous avons vécu en famille est souvent responsable des relations que nous entretenons avec l’argent et de la représentation que nous nous en faisons. Il dirige alors notre inconscient.
Par exemple, si l’argent est tabou, ou si les riches sont vus comme des voleurs, en gagner beaucoup peut être culpabilisant. Comme le fait d’être plus riche que ses propres parents, ou ses frères et soeurs. Autant de situations qui peuvent pousser à une contradiction entre l’envie de réussir et celle de ne pas être riche pour ne pas être mal vu.
On peut en arriver à ne pas choisir un métier “rentable” ou même rater des examens de grande école.
On peut aussi renoncer à une carrière artistique pour celle de financier, mais pas par amour des chiffres !

La dépendance à l’argent est souvent reliée à un souci d'estime de soi. En avoir, acheter nous remplit et nous donne l’illusion de compléter un manque.
La peur de l’argent vient souvent d’une incapacité à savoir combien nous valons. On aura du mal à négocier son salaire, demander une augmentation, évaluer le coût d’une mission, augmenter ses tarifs, ...et c'est majoritairement le cas des personnes que j'accompagne.
Le débiteur chronique se met en danger financier en permanence ; il emprunte souvent. Il joue, il prend le risque de tout perdre mais il s’en fiche car « je dépense donc je suis » !

L’économe se préserve, pense à son avenir. Le radin donne peut et l’avare ne donne rien ! Il est souvent isolé et enfermé.

La solution :
Pour régler son compte à l’argent, il convient d'identifier ses résistances et travailler sur les 
croyances limitantes liées à l’argent.

Il faut comprendre ce qui nous pousse à en gagner, ou pas et ce que cela nous coûte !
Savoir ce que l’on vaut, quelle valeur on s’accorde est essentielle.


Réglez-vous votre compte !

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