J’en peux plus du pervers narcissique en veux-tu, en voilà !
Véronique Debord coach, psy, santementale |
Tout d’abord, parce qu’il n’existe que très peu de personnes avec une vraie structure perverse et c’est une pathologie.
En revanche, le gros connard est beaucoup plus répandu, ne confondez pas 😉
Bref , c’est pas le sujet dans ce post !
Quand vous êtes dans une relation (pro ou perso) compliquée, vous avez tendance à vouloir mettre l’autre dans une case pour vous rassurer.
Vous avez tendance à vouloir comprendre son fonctionnement ; « parce que si je comprends, je pense que je vais y arriver, ça ira mieux »
Alors, c’est tout à fait normal de vouloir comprendre, et de se poser des questions.
Sauf que vous ressassez , vous y perdez BEAUCOUP d’énergie, de temps et que c’est pas le vrai sujet .
Le VRAI SUJET et la priorité, c’est
- Comment, VOUS, vous vous sentez dans cette relation ?
- Qu’est ce que, VOUS, vous acceptez cette relation ?
- Qu’est ce que, VOUS, vous tolérez et jusqu’où ?
Alors le « diagnostic » de l’autre on s’en fiche, le plus important étant ce que VOUS DÉCIDEZ de faire pour vous.
En revanche, le gros connard est beaucoup plus répandu, ne confondez pas 😉
Bref , c’est pas le sujet dans ce post !
Quand vous êtes dans une relation (pro ou perso) compliquée, vous avez tendance à vouloir mettre l’autre dans une case pour vous rassurer.
Vous avez tendance à vouloir comprendre son fonctionnement ; « parce que si je comprends, je pense que je vais y arriver, ça ira mieux »
Alors, c’est tout à fait normal de vouloir comprendre, et de se poser des questions.
Sauf que vous ressassez , vous y perdez BEAUCOUP d’énergie, de temps et que c’est pas le vrai sujet .
Le VRAI SUJET et la priorité, c’est
- Comment, VOUS, vous vous sentez dans cette relation ?
- Qu’est ce que, VOUS, vous acceptez cette relation ?
- Qu’est ce que, VOUS, vous tolérez et jusqu’où ?
Alors le « diagnostic » de l’autre on s’en fiche, le plus important étant ce que VOUS DÉCIDEZ de faire pour vous.
Share On